Normandy Beach Yoga, les 8 et 9 mai

Le 8 et 9 mai 2015 à Courseulles sur Mer, a lieu le Normandy Beach Yoga !

Normandy Beach Yoga est un concept d’animation du littoral autour de la santé et du bien-être, de la culture, du sport.Normandy Beach Yoga est rassembleur des formes de Yoga. Les grandes sessions sont animées par des professeurs issus de courants différents. Dans le village d’accueil, une programmation d’ateliers de découverte est possible grâce aux clubs et associations locaux de Yoga, Pilate, Taï Chi,… et autres disciplines.

Normandy Beach Yoga souhaite partager ses valeurs de bien être, de sport et de convivialité avec la Fondation Arthirtis. En effet l’équipe organisatrice apportera de la visibilité sur les actions de la Fondation Arthritis sur cet événement. L’équipe régionale sera relayée et appuyée par des intervenants d’envergure nationale et internationale telle Charlotte Saint Jean, ambassadrice sportive de la Fondation Arthritis.

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Le Programme

Le programme est adapté à tous niveaux et tous les âges : première expérience, débutant, confirmé, avancé.

Les horaires indiqués sont adaptés à ceux des marées ! En fonction de la météo du jour, ils pourront être légèrement décalés. Une grande salle permettra d’accueillir l’événement par tous les temps !

Rendez-vous en tenue de plage claire adaptée au temps !

JUNO BEACH 2015 : 8 et 9 mai

Découverte des Yoga et disciplines cousines (Sophrologie, QiQuong), Sports complémentaires (course à pied, randonnée, équitation, paddle, marche aquatique…), Culture (Mandalas, loisirs créatifs, visite musée, concert, cinema…) sont au programme de ce week-end !

Seront présents : Charlotte Saint Jean, fondatrice de Yogachezmoi et Mika de Brito, fondateur de Tout ça pour ça.

Télécharger le programme

Les inscriptions sont ouvertes !

Afin d’en savoir plus sur cet événement, nous vous invitons à vous rendre sur le site : www.normandybeachyoga.com/

Inscrivez maintenant à partir de ce lien 

 

 

 

Participez au SpondyCafé d’ACS France

A.C.S. France pour mieux vivre avec une spondyloarthropathie

Au service des malades depuis avril 1987, ACS-France cherche à améliorer votre qualité de vie avec une spondyloarthropathie, l’aide, le soutien, l’écoute, l’accompagnement, l’information médicale et sociale, le soutien actif à la recherche, ACS-France organise et participe à des colloques-débats et des congrès.

Le concept des SpondyCafé

SpondyCafé est un rendez-vous entre personnes qui ont une spondy et qui souhaitent partager leurs émotions et leurs expériences autour d’une tasse ou d’un verre.

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Retrouvez les prochains SpondyCafé

25.04 – Lyon (69)
23.05 – Chartres (28)
30.05 – La Valette-du-Var (83)
30.05  – Fontainebleau (77)
06.06 – Saint-Laurent-du-Var (06)

Pour en savoir plus et organiser votre SpondyCafé rendez-vous sur le site : www.acs-france.org/

Soirée inauguration Debuchy by Toulet au profit de la Fondation

Une conférence de presse suivie d’une soirée cocktail

Le 31 mars dernier, à la Fédération Française de Football, avait lieu la soirée d’inauguration de la ligne de baby-foot de Mathieu Debuchy. Le footballeur, entouré de Marc-Alain Deledalle – directeur de la société Toulet- et de Lionel Comole – directeur général de la Fondation Arthritis, a pu présenter sa ligne de baby-foot aux journalistes lors d’une conférence de presse. Lionel Comole a eu l’opportunité, devant les nombreux journalistes présents, de présenter et parler de la Fondation.

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La soirée s’est poursuivie par un cocktail avec footballeurs et acteurs comme Olivier Giroud, Rio Mavuba, Yohan Cabaye, Nolan Roux, Florent Balmont, Robert Pirès ou encore Dany Boon, qui étaient venus voir et tester les différents baby-foot.

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Vente aux enchères exceptionnelles

La soirée s’est terminée par une vente aux enchères de trois baby-foot, dont la vente de l’un d’entre eux était intégralement reversée à la Fondation Arthritis. Grâce à la générosité de Mathieu Debuchy, de la société Toulet ainsi que de l’acquéreur du baby-foot, la Fondation a pu récolter 3 600 € pour la recherche.

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Un partenariat qui a du sens

Le partenariat entre Debuchy by Toulet et la Fondation Arthritis a du sens puisque la Fondation compte parmi ses pathologies la Gonarthrose qui est la maladie du footballeur. La Fondation Arthritis, en France, soutient un projet de recherche basé sur le principe à succès des cellules souches réparatrice du cartilage, déjà utilisé en Corée du Sud et qui a fait ses preuves, et dirigé par des Professeurs de renommée mondiale. L’objectif est de comprendre plus finement les mécanismes sous-jacents à ce type de traitement, et ainsi d’élaborer la nouvelle version d’un traitement encore meilleure qui bénéficiera à plus de patients.
Nous souhaitons faire aboutir cette innovation le plus rapidement possible, notamment pour personnaliser le traitement au bénéfice des footballeurs de haut-niveau

Arthritis Mag #26 – Avril 2015

Projets de recherche 2015

Au sommaire :

  • EN DIRECT D’UN LABO
    A la rencontre du Dr. Perruche
  • RECHERCHE 
    Les résultats de recherche 2014
  • RECHERCHE
    Les projets de recherche financés en 2015
  • ASSOCIATIONS 
    Les événements organisés par les associations de patients
  • AGENDA
    Les dates à retenir pour le printemps 2015

La Fondation au Salon du Golf 2015 !

L’équipe de la Fondation Arthritis a été très contente de se réunir ce samedi 21 mars 2015 à l’occasion de la 9ème Edition du Salon du Golf à Paris.

Invité par son fidèle partenaire, Golfy, la Fondation s’est vue remettre un chèque de 45 000€ représentant les gains du Trophée Arthritis by Clarins 2014, reversés intégralement à la recherche médicale.

IMG_0915La Fondation Arthritis remercie l’engagement du réseau Golfy pour ces 5 années de soutien !

Qu’est-ce que le Trophée Arthirtis by Clarins ?

I l s’agit d’une action caritative d’envergure nationale : une compétition ouverte à tous, sur une journée, qui rassemblera pas moins de 5 000 golfeurs sur plus de 70 green! L’intégralité des droits de jeu et des dons récoltés par chaque club est reversée à la recherche médicale contre les rhumatismes graves. Des lots pour les gagnants, un moment convivial et solidaire, Golfy et la Fondation Arthritis vous attendent nombreux dans les clubs de golfs du Réseau Golfy pour cet événement incontournable.

Passion, détente, performance, convivialité et solidarité seront au rendez-vous soyez en sûr !

Calendrier du Trophée 2015

Retrouvez le calendrier des compétitions Trophée Arthritis 2015 et participez à cette 5ième édition!

Téléchargez ici :Calendrier des compétitions 2015

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Lumière sur l’histoire de Honda & La Fondation Arthritis

Une belle histoire

Entre Honda et Arthritis, tout commence par une rencontre en 2010 : C’est l’histoire d’une rencontre d’un garçon hors norme …  une volonté incroyable, une passion débordante, un enthousiasme contagieux, une histoire émouvante… Honda décide de partager une expérience commune avec lui…
Ce garçon n’est autre que Lionel Comole, ingénieur, pilote automobile et directeur de la Fondation Arthritis. Son leitmotiv : sensibiliser jour après jour un maximum de personnes pour démontrer que le sport de haut niveau est synonyme de guérison.
Pour Lionel, le sport automobile, sport d’endurance par excellence est un challenge qu’il relève avec brio malgré une spondylarthrite ankylosante.

Honda est partenaire d’Arthritis depuis 2011.

Depuis le début, l’objectif de Honda est de soutenir la fondation en médiatisant ses actions, notamment grâce au sport automobile, mais aussi autour d’initiatives événementielles innovantes.
Honda et Arthritis, ce sont aussi des valeurs communes de  Non-conformisme, d’Audace, d’Ingéniosité, d’Enthousiasme, d’Humanité et de Générosité.

2014 :  L’expérience Arthritis par Honda

En 2014, Honda et Arthritis vont frapper fort, car ce sont les membres du Team Honda, tous sportifs de haut niveau, qui se prêtent au jeu pour vivre une expérience de vie hors du commun !
En l’espace d’un instant, nos sportifs se verront projetés dans un monde où leur mobilité deviendra plus difficile …

 

Page officielle du partenariat Honda & Fondation Arthirtis : http://www.honda.fr/arthritis/

Journée Mondiale du Lupus Strasbourg 2015

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Les 10 et 11 mai 2015, le laboratoire Immunopathologie et Chimie Thérapeutique du CNRS (UPR 3572) et la Faculté de Médecine (Université de Strasbourg) organiseront le premier colloque français consacré exclusivement au Lupus.

A cette occasion, interviendront des personnalités du domaine, reconnues internationalement, mais aussi les associations de malades auxquelles un espace particulier sera réservé le lundi de 12h45 à 14h 45.

A noter que ce colloque est également ouvert aux patients. Participation gratuite, mais INSCRIPTION OBLIGATOIRE sur le site web du colloque, du lundi 2 mars au jeudi 30 avril 2015.
Site web du colloque : http://jmls2015.sciencesconf.org/

 

Quelques informations sur le Lupus

Le lupus érythémateux disséminé (LED) est une maladie autoimmune non spécifique d’organes. Inflammatoire et chronique, il s’agit d’un syndrome dont les symptômes varient beaucoup d’une personne à l’autre et qui touche 90% de femmes pour 10% d’hommes. Les atteintes peuvent être dermatologiques, cardiovasculaires, rénales, rhumatologiques, mais aussi cérébrales (jusqu’à 75% des patients à terme). Le LED évolue par poussées, difficiles à anticiper, et périodes de rémission.
En France, en 2010, le LED touchait près de 50 personnes pour 100 000 habitants et l’on évaluait entre 20 000 et 50 000 le nombre de patients atteints. La maladie affecte davantage certaines populations davantage prédisposées et survient exceptionnellement avant l’âge de 5 ans.
A l’heure actuelle, il n’existe aucun traitement spécifique du LED. Des médicaments de
type immunosuppresseurs et anti-inflammatoires sont en général utilisés pour en atténuer les symptômes et calmer les douleurs. A noter toutefois qu’il est proposé aujourd’hui de nouvelles pistes thérapeutiques, plus spécifiques et de fait moins génératrices d’effets secondaires.
Gageons que ces nouvelles approches pourront considérablement améliorer la qualité de vie des patients.

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Comment rajeunir les tissus musculo-squelettiques ?

Jean-Marc Lemaître, Directeur de recherche Inserm, directeur de l’équipe Inserm « Plasticité génomique et vieillissement » Institut de Médecine Régénérative et Biothérapies, Montpellier, répond à 3 questions sur le sujet.

En 2011, votre équipe avait réussi à rajeunir des cellules de personnes centenaires, c’était de la reprogrammation épigénétique. Quel en est le principe ?

Nos cellules n’échappent pas au vieillissement. Celui-ci se caractérise par une modification
progressive du profil d’expression des gènes liée à l’apparition de marques épi génétiques. La conséquence est une perte progressive des capacités cellulaires, comme la résistance au stress ou la capacité de réparation. Nous sommes partis du principe que la différenciation cellulaire était réversible par reprogrammation nous appuyant sur les travaux des équipes de J. Gurdon et de S. Yamanaka : nous avons développé un cocktail de 6 facteurs géniques susceptibles de reprogrammer le destin d’une cellule vieillissante en celui d’une cellule souche pluripotente embryonnaire ; celle-ci présente une physiologie rajeunie, ayant effacé les marques épigénétiques du vieillissement.

Quelles sont les objectifs de vos travaux sur le vieillissement ?

Convaincu que la perte des différentes fonctions de l’organisme avec l’âge est avant tout une conséquence du vieillissement cellulaire et de sa susceptibilité accrue à entrer en sénescence, mon équipe cherche à mieux comprendre comment s’établit le vieillissement cellulaire et quels sont les mécanismes épigénétiques impliqués. L’objectif est de trouver des stratégies capables de retarder ou reprogrammer l’état sénescent afin d’en rendre les effets négligeables.

Peut-on espérer un traitement basé sur la régénération des tissus musculosquelettiques endommagés ?

Puisque le vieillissement cellulaire est réversible, rien ne s’y oppose… En effet, la reprogrammation permet de manipuler le destin des cellules pour les transformer en cellules souches pluripotentes induites (iPSC) issues du patient, même s’il est âgé. Ces iPSC peuvent être aujourd’hui redifférenciées en cellules musculaires mais aussi en cellules souches mésenchymateuses et hématopoïétiques à la physiologie rajeunie, et qui sont à l’origine du tissu musculo-squelettique. Ces cellules souches issues du patient, si elles sont greffées, permettent de s’affranchir des problèmes immunologiques du rejet. Elles représentent donc un formidable espoir qui nécessite le développement d’essais cliniques pour être concrétisé.

Working in the laboratory

 

Philippe Georgel, Directeur de l’équipe « Immuno-Rhumatologie Moléculaire » de l’unité 1109, Inserm, Université et CHU de Strasbourg répond à 3 questions sur le sujet.

Quel est le rôle des microARNs ?

Les microARNs sont des petits ARNs non codants de 20 à 22 nucléotides. Ils constituent des éléments de régulation post-transcriptionnelle majeurs : en se fixant sur des séquences cibles des ARN messagers (ARNm), ils provoquent leur dégradation ou inhibent leur traduction.
On estime que l’expression de plus de 60% des gènes est régulée par des miARNs.

Quelles sont les objectifs de vos travaux sur le vieillissement ?

Les miARNs sont des acteurs importants dans la régulation des processus inflammatoires. En effet, la réponse inflammatoire ne doit être que transitoire pour jouer un rôle bénéfique, sinon elle peut provoquer des dommages cellulaires. Leur rôle dans la polyarthrite rhumatoïde est attesté par de nombreux articles décrivant des altérations de l’expression de plusieurs miARNs chez les patients. Nos propres travaux ont conduit à l’identification de miR-346, miR-19 et miR-20 en tant que régulateurs négatifs de l’inflammation. Par ailleurs, une baisse globale de l’expression des miARNs dans les synoviocytes semble être une caractéristique des patients souffrant de PR.

Pourraient-ils constituer une piste de traitement ?

A ce jour, la modulation de l’activité de miARNs à des fins thérapeutiques n’est envisagée que dans le
cadre de l’infection par le virus de l’hépatite C (HCV). Jusqu’à présent, dans le cadre de la PR comme dans celui d’autres pathologies dans lesquelles des miARNs sont impliqués (cancers), les miARNs sont plutôt considérés comme des biomarqueurs dont le dosage dans le sang pourrait permettre de prédire la maladie, d’en affiner le diagnostic, ou bien de mieux définir et ajuster l’approche thérapeutique qui est envisagée.

L’Arthrose, une maladie complexe

Marcher, bouger, tenir des objets tout cela est possible grâce aux articulations. Soumises à des forces importantes tout au long de la vie, elles subissent des traumatismes, sans compter les pathologies qui peuvent abîmer les articulations et notamment le cartilage. C’est le cas dans l’arthrose, une maladie qui véhicule encore bien des idées fausses.

Ce que l’on croit savoir

« L’arthrose est due au vieillissement naturel du cartilage » : FAUX
Plutôt à une usure prématurée qui résulte de l’association de plusieurs mécanismes et de plusieurs facteurs. Certes, l’arthrose est plus fréquente quand on vieillit, mais tout le monde n’en souffre pas. On estime que 35 % des arthrosiques ont commencé à avoir mal avant l’âge de 40 ans. Ce qu’on fait subir à ses articulations compte sans doute plus que l’âge.

« L’arthrose ne touche pas toutes les articulations » : FAUX
Elle peut toucher l’ensemble des articulations du squelette, avec des conséquences socio-économiques extrêmement importantes.

« Il faut bouger le moins possible » : FAUX
Au contraire, il ne faut pas s’économiser et entre les poussées, garder une activité physique pour conserver une tonicité. C’est aussi l’un des moyens de prévenir l’arthrose. L’idéal : les sports dans l’eau, le rameur, le vélo… à condition de s’arrêter dès que la douleur apparaît.

L’arthrose en chiffres

L’arthrose est la plus fréquente des maladies articulaires. Ainsi, l’on estime que 9 à 10 millions de personnes souffraient d’arthrose en France en 2003, avec un coût annuel de l’ordre de 1,6 milliards d’euros. En termes de coût, on situe habituellement l’arthrose au deuxième rang des maladies chroniques, après les affections cardiovasculaires, ce qui fait qu’elle représente un véritable problème de Santé Publique dans les pays développés.

Ce qu’il faut retenir

L’arthrose est une forme de rhumatisme.
L’arthrose se caractérise par l’accélération de la destruction du cartilage et une diminution de sa capacité à se renouveler.

Il n’y a pas une, mais des arthroses.
Même si toutes ont les mêmes symptômes, l’origine diffère : métabolique, génétique, dégénérative, traumatique… Pour que l’arthrose se déclare, il faut un terrain favorable et des contraintes ou sollicitations excessives répétées (surpoids, entorses à répétition mal soignées, sport de haut niveau, couture, clavier…).

L’activité sportive est bénéfique pour l’arthrose
Elle permet de stimuler le cartilage, de lutter contre les mauvaises postures et de limiter la fonte musculaire. Elle est encore plus efficace quand elle est pratiquée de façon progressive, modérée et adaptée à la douleur. Quand l’arthrose est déjà développée, les sports à pratiquer sont ceux qui sollicitent le moins les articulations comme le cyclisme, la natation ou la course à pied.

Une douleur inévitable

Le principal symptôme est incontestablement la douleur qui apparaît à l’effort, à l’appui et cède au repos. Au début, elle ne se manifeste que pendant la journée. Ensuite, les poussées inflammatoires s’installent, traduisant la réaction de la synoviale pour éliminer les déchets dus à la destruction du cartilage. La douleur devient alors aussi nocturne et le dérouillage matinal est de plus en plus long. S’ensuit une raideur articulaire plus ou moins handicapante.
Tous les espoirs des malades reposent sur la recherche, afin de trouver enfin des traitements efficaces pour ralentir le développement de la maladie et surtout régénérer le cartilage. Pour y parvenir, il faut d’abord comprendre tous les mécanismes de cette affection, d’où la nécessité de multiplier les recherches, mais aussi de travailler en synergie. C’est tout l’intérêt du lancement du réseau de recherches ROAD, un projet mené par la Fondation Arthritis, qui réunira sept unités de recherche françaises.

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La fondation sur les réseaux