Différence liée au sexe dans la réponse dépendante de tlr-7 des cellules dendritiques plasmacytoïdes humaines: contribution respective du chromosome x et des hormones stéroïdes

GUERY Jean-Charles, INSERM U1043, Centre de Physiopathologie de Toulouse-Purpan (CPTP) , CHU Purpan, Toulouse

Dans le lupus érythémateux disséminé (LED), la production soutenue d’IFNs de type I par les cellules dendritiques plasmacytoïdes (pDCs) jouerait un rôle délétère. Les pDCs de femmes produisent plus d’IFNs que celles d’hommes et nous avons montré que les oestrogènes seraient impliqués dans cette différence de réponse des pDCs induite par stimulation de leur récepteur Toll (TLR). Chez la souris nous avons récemment mis en évidence que les oestrogènes agissaient directement sur les pDCs via leur récepteur nucléaire REα pour augmenter leur capacité à produire de l’IFN-α après stimulation de leurs TLRs. En parallèle, dans un modèle de souris humanisées, nos résultats préliminaires suggèrent que la réponse des pDCs humaines femelles, possédant 2 chromosomes X, est globalement supérieure aux pDCs mâles en réponse à des ligands de TLR-7 qui est codé sur l’X.

Objectifs du projet

Notre projet actuel vise à analyser la contribution respective des oestrogènes des facteurs liés à l’X sur la réponse dépendante de TLR-7 des pDCs humaines, ce qui expliquerait la plus grande susceptibilité des femmes à développer le LED.

Répartition des dépenses

Répartition financière du projet

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Mots clés :

La fondation sur les réseaux