La FeetWeek by Arthritis : le challenge connecté et solidaire

Une semaine placée sous le signe de la convivialité, de l’échange et du partage et qui visait à sensibiliser au handicap et à la Fondation.

Le challenge ?

Marcher en équipe, relever des défis et se mesurer à ses collègues pour, à la fin de la semaine, être l’équipe qui aura cumulée le plus de pas.

Comment ça marche?

Dans chaque entreprise, les participants devaient constituer des équipes de 5 et s’inscrire sur un site dédié. Une fois inscrit, grâce à un smartphone, ou un tracker d’activité physique connecté, les collaborateurs engagés cumulaient chaque jour un nombre de pas, qui était ensuite additionné par équipe. Les données étaient automatiquement retranscrites sur le site internet, animé en temps réel, permettant de comparer les distances parcourues entre les participants et les équipes.
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Tout au long de la semaine, les équipes avaient des mini-challenges basés sur l’activité physique mais aussi sur l’engagement des participants. Ces jeux permettaient aux équipes de remporter des points. Ces points associés au nombre de pas de l’équipe étaient à l’origine du classement général du challenge.
C’est une équipe Clarins, Pontoise, les Clarins Gump, qui a remporté cette première édition avec un total de 776 660 pas. Ils sont chacun reparti avec un voyage pour deux personnes à Marrakech, généreusement offert par notre partenaire Very Golf Trip.
Cette opération vise à changer les habitudes et le bien-être des collaborateurs sur leurs lieux de travail, en les invitant à réaliser un maximum de pas.

Vous êtes une entreprise et l’aventure vous tente ?

Contactez-nous vite pour que l’on mette vos collaborateurs au défi !

AJI KO, 1er «serious game» destiné aux enfants

Zoom sur AJI KO

Ce jeu vidéo disponible sur PC, smartphones et tablettes est à destination des enfants souffrant d’Arthrite Juvénile Idiopathique (AJI) qui veulent comprendre leur maladie et mieux vivre avec. Grâce à cette approche ludique ils pourront le faire tout en s’amusant !
Au travers de cette application ils vont pouvoir : rencontrer des soignants qui les aideront à mieux connaitre l’AJI, guider leur personnage dans son parcours de soins et ses activités, répondre à des Quizz et lutter contre l’inflammation.

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Sur une idée originale de l’association ANDAR et du Dr Jean-David COHEN, avec le soutien institutionnel du laboratoire Abbvie et la participation active de l’association Kourir, c’est un nouveau support innovant qui voit le jour et qui est mis à disposition de l’ensemble des enfants.
Disponible en version française et anglaise, ce support révolutionne l’information sur cette pathologie en devenant un réel outil éducatif. Il a ainsi pour ambition d’aider les jeunes à être plus autonomes et à améliorer leur qualité de vie. Dans le futur, le jeu pourra être également traduit en d’autres langues.
Bravo à l’association Andar et à ses partenaires d’avoir fait naître AJI KO !!

Hommage au Professeur Gilles Chiocchia

Mot de Maxime Breban

« Gilles a fait sa carrière comme chercheur à l’INSERM puis comme Professeur d’Immunologie-Praticien Hospitalier à la Faculté des Sciences de la Santé Simone Veil (Université de Versailles Saint-Quentin -en-Yvelines-ParisSaclay) où il a été nommé en septembre 2016.

Elève de Catherine Fournier sous la direction de laquelle il a effectué son travail de thèse de Sciences sur l’arthrite expérimentale chez la souris dans l’unité INSERM du bâtiment Hardy, à l’hôpital Cochin, il a ensuite complété son expérience d’immunologiste par un stage post-doctoral au Cornell Medical Center, dans le Laboratoire du Professeur Kendall Smith.

De retour en France, il a intégré l’INSERM comme Chercheur et a poursuivi sa carrière dans l’unité INSERM de l’Hôpital Cochin au sein de laquelle nous avons entamé une collaboration qui s’est renforcée tout au long de ces 20 dernières années.

Il est devenu Directeur d’équipe INSERM à l’Institut Cochin en 2003 puis a assumé les fonctions de Directeur du Département d’Immunologie à partir de 2006, puis de Co-Directeur du Département d’Immunologie et d’Hématologie de ce Très Grand Institut INSERM/CNRS de 2010 à 2012.

A partir de 2012 il a assumé en parallèle les fonctions de Directeur du comité de pilotage du Centre de Recherche Simone Veil, dépendant de la Faculté de Médecine de l’Université de Versailles-Saint-Quentin qui était alors en construction.

Il est devenu en 2015 Directeur de l’UMR 1173 Inserm/UVSQ ,  forte de trois équipes de recherche centrée sur les relations entre « infection & Inflammation, en particulier articulaire», et créée grâce notamment à son énergie exceptionnelle dans le nouveau bâtiment de cette Faculté qui ne comptait encore aucune UMR dévolue à la biologie jusque là.

Il a été l’un des co-directeurs du laboratoire d’Excellence INFLAMEX créé en 2012 et dévolu à l’étude des pathologies inflammatoires.

Il a en outre assumé un grand nombre de responsabilités dans le cadre de ses fonctions de chercheur et d’enseignant :- Membre du Conseil d’Administration de l‘UVSQ

– Membre du Conseil Académique (CAC) de la Comue Paris-Saclay
– Membre du bureau du Département des Sciences du Vivant de la Comue Paris-Saclay
– Membre du bureau IDEX du CAC Paris Saclay
– Représentant de l’Université UVSQ au Département des Sciences de la Vie Paris-Saclay
– Membre du Conseil Scientifique de la Fondation Arthritis (2004-2008 et 2012-2015)
– Membre du Conseil Scientifique de la Faculté de Sciences de la Santé UVSQ
– Membre du Conseil Scientifique de la cohorte ESPOIR
– Directeur des plateformes technologiques de la Faculté de Sciences de la Santé UVSQ
– Expert associé pour les pathologies ostéoarticulaires auprès de l’ITMO CMN
– Membre du Conseil scientifique de l’Ecole Doctorale de la COMUE Paris-Saclay « Structure et Dynamique des
Systèmes  Vivants (SDSV) »
– Co-responsable de l’UE 4 du M2 Ostéoarticulaire et Orofacial
– Responsable de l’UE Réponse Immunitaire et Défense anti-Infectieuse M1 Paris-Saclay

Sa thématique de recherche était l’inflammation articulaire et il fut l’un des rares de sa génération en France à s’y consacrer entièrement.

Il a contribué à la formation de nombreux jeunes scientifiques ou médecins, en particulier rhumatologues, qu’il a encadrés durant leur travail de master ou thèse de Sciences.
Membre de la SFR, il fut également membre de son CA et de son CS.

Au-delà de sa réussite professionnelle et de sa production scientifique de premier plan qui lui ont permis d’être reconnu aussi bien au plan National qu’International, en particulier par notre communauté rhumatologique, Gilles était apprécié de tous ses Collègues, Collaborateurs et Elèves pour ses qualités humaines exceptionnelles, alliant ouverture d’esprit, curiosité intellectuelle, générosité, altruisme, préoccupation du bien commun, chaleur, joie de vivre.

Son souvenir restera ancré au fond de notre cœur.  »

 

 

Dépenses de recherche vs Gain économique

Des chercheurs anglais en économie de la recherche ont récemment étudié la rentabilité des dépenses de la recherche sur les maladies musculo-squelettiques en Angleterre. Ils constatent que les patients atteints de maladies musculo-squelettiques représentent jusqu’à 20% des consultations chez le médecin généraliste et coûtent 5 milliards de livres au système de Santé ; alors que seulement 3% de l’effort de recherche sont consacrés à ces pathologies contre 20% pour les cancers.

La dépense totale de recherche sur les maladies musculo-squelettiques de 1978 à 1997 fut de 1,4 milliards de livres. Sur la période de 1994 à 2013, les interventions clés de santé sur ces maladies ont produit un bénéfice monétaire net de 16 milliards de livres. La proportion de ce bénéfice attribuable à la recherche du pays est estimée à 30%.

En d’autres termes, un effort de recherche pendant une vingtaine d’années produit au bout d’une quinzaine d’années un bénéfice 3,5 fois supérieur à l’investissement initial. De plus, ce bénéfice se poursuit indéfiniment. Les arthrites inflammatoires comptent pour plus de la moitié de ce bénéfice, notamment grâce à la découverte du traitement anti-TNF.
En France, les efforts de recherche soutenus par la Fondation Arthritis ont permis d’aboutir au test de diagnostic de la polyarthrite rhumatoïde. Ce test permet de gagner des mois, voire des années de dégradation articulaire permettant des économies de coût de santé importantes.

La dernière enquête menée par l’Ifop pour le compte de «Ensemble Contre les Rhumatismes» montre qu’un français sur deux souffre actuellement d’une maladie articulaire, et il s’agit du premier motif de recours aux soins et d’arrêt de travail.
Une augmentation de l’effort de recherche sur les maladies musculo-squelettiques devrait donc aboutir à un gain économique considérable pour notre pays ; argument à faire valoir auprès de nos décideurs politiques.

Pour en savoir plus:
Estimating the returns to United Kingdom publicly funded musculoskeletal disease research in terms of net value of improved health outcomes. Glover et al. Health Research Policy and Systems (2018) 16:1

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L’Arthrite Juvénile est une maladie articulaire qui touche les enfants de moins de 16 ans. Elle est caractérisée par une inflammation au niveau des articulations et, sans traitements rapides et adaptés, elle peut aboutir à des anomalies du développement osseux ainsi qu’à des retards de croissance chez ces enfants qui n’ont pas fini de grandir.

Cette pathologie est hétérogène et il est difficile d’en discriminer clairement les différentes formes. La classification actuelle, qui a subi et subit encore des modifications, distingue les différents types d’Arthrite Juvénile en s’appuyant sur leurs causes, les articulations touchées ainsi que par la présence de manifestations extra-articulaires.

En effet, cette pathologie peut également avoir des répercussions au niveau d’organes tels que les yeux, les muscles, la peau ou encore le système intestinal. Les différentes formes d’Arthrite Juvénile identifiées à ce jour correspondent à l’Arthrite Juvénile idiopathique (AJI), l’Arthrite Septique (AS), la dermatomyosite juvénile, le lupus juvénile, la sclérodermie juvénile, la maladie de Kawasaki, la maladie du tissu conjonctif mixte et enfin le syndrome fibromyalgique.

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Arthrite Juvénile idiopathique et Arthrite Septique : de la difficulté de poser un diagnostic à l’identification de nouveaux biomarqueurs.

Les deux formes d’Arthrite Juvénile les plus représentées en France sont l’AJI avec 19 cas sur 100 000 habitants par an et l’AS avec une prévalence annuelle de 5 cas sur 100 000 habitants. La première est une maladie auto-immune, d’origine inconnue, au niveau de laquelle le système immunitaire se retourne contre les cellules de l’hôte et induit une inflammation. En ce qui concerne l’Arthrite Septique, elle est provoquée par des bactéries localisées dans les articulations où elles peuvent causer des lésions puis se disséminer dans le reste de l’organisme. L’AS est mortelle dans 10% des cas et doit être traitée dans les plus brefs délais.

Bien qu’il s’agisse de deux types d’arthrite bien distincts avec des causes différentes, l’AJI et l’AS présentent des similarités au niveau des signes cliniques. Pour cette raison, il est difficile de les distinguer lorsqu’un nouveau cas se présente à l’hôpital et que l’agent infectieux responsable de l’AS n’est pas détectable.
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Nadège Nziza, jeune chercheur, financée par la Fondation Arthritis, s’intéresse à cette problématique. L’objet de ses travaux de thèse est d’identifier des biomarqueurs qui permettraient de discriminer au diagnostic ces deux formes d’arthrites et ainsi adapter les approches thérapeutiques. « Jusqu’à présent, nous avons pu identifier des sous-populations de cellules myéloïdes ainsi que des molécules dérivées de l’ADN qui circulent dans l’organisme d’enfants atteints d’AJI et d’AS et dont le nombre ou l’expression varie en fonction de la pathologie. Toutefois, avant de pouvoir utiliser de telles données en routine dans les hôpitaux, il est important de valider nos résultats sur un plus grand nombre de patients afin de s’assurer qu’ils sont fiables et reproductibles. » nous explique Nadège.
L’arthrite chez les enfants est une pathologie peu étudiée. A ce jour, une petite dizaine de laboratoires seulement travaille sur l’Arthrite Juvénile en France. Nadège Nziza effectue ses travaux de recherche dans l’équipe du Pr. Florence Apparailly (Unité 1183 INSERM, Equipe 3, Montpellier) qui s’intéresse aux causes génétiques et immunologiques des maladies inflammatoires chroniques des articulations. Comprendre ces maladies, leurs caractéristiques génétiques et cellulaires permettrait de développer des stratégies thérapeutiques innovantes, notamment une médecine personnalisée capable de répondre aux besoins spécifiques de chaque patient.

Résultats du projet MIRIAD

Le projet MIRIAD est un projet soutenu par la Fondation Arthritis en collaboration avec Clarins à hauteur de 1,5 M€. Ce projet porté par le Pr. Maxime Bréban, de l’Hôpital Ambroise-Paré, en collaboration avec une équipe de l’INRA, porte sur le rôle du microbiote intestinal dans les rhumatismes inflammatoires chroniques.

Le projet MIRIAD s’est proposé d’étudier le rôle de la composition de la flore bactérienne intestinale dans le déclenchement et/ou l’évolution de spondyloarthrite (SpA) et la polyarthrite rhumatoïde (PR). Récemment, et afin de déterminer le rôle du microbiote intestinal, l’équipe de Maxime Bréban a comparé la composition bactérienne de la flore intestinale chez des patients atteints de SpA et de PR avec des témoins familiaux sains.

Cette étude a tout d’abord pu révéler une raréfaction de la diversité microbienne chez les patients atteints de SpA et de PR comparativement aux témoins sains. Dans le but d’établir une signature robuste de la dysbiose* intestinale dans la PR et les SpA, les chercheurs ont séquencé les fragments d’ADN bactérien présents chez les patients atteints de SpA, de PR et chez les témoins sains.

D’une manière très intéressante, les résultats ont montré la présence d’une forte proportion de bactéries Ruminococcus gnavus (R.gnavus) dans la flore intestinale des patients atteints de SpA comparativement aux patients atteints de PR et aux témoins sains. La présence caractéristique de cette bactérie, connue pour son rôle pro-inflammatoire s’est révélée associée à l’activité de la spondyloarthrite chez les patients.

Ces premiers résultats ont permis d’identifier une dysbiose* spécifique de la spondyloarthrite et suggèrent des liens entre terrain génétique, microbiote intestinal et inflammation dans le contexte de la SpA, ils ont été publiés dans la prestigieuse revue scientifique Annals of the Rheumatic Diseases en juin dernier.

L’équipe de Maxime Bréban poursuit actuellement l’étude sur une plus grande cohorte de patients dans le but d’élucider les mécanismes d’interactions entre dysbiose intestinale, inflammation articulaire et intestinale.

 

*dérèglement de la flore intestinale

Pour en savoir plus : Breban M, et al. Ann Rheum Dis 2017;0:1–9.doi:10.1136

Et si nous parlions de nos enfants ?

« Il sont le centre de nos pensées, la préparation de notre futur et le générateur de nos plus fortes émotions. Nos enfants portent cette candeur qui réussit à nous donner le sourire dans les moments les plus difficiles.
Eux aussi peuvent souffrir mais ils le font avec simplicité, résilience et une formidable joie de vivre. De façon naturelle, ils portent une confiance indéfectible en leur avenir.

Je connais les douleurs, je connais les questionnements, les angoisses et tous les effets délétères de nos maladies. Je les connais et pourtant je sais que rien n’est comparable. C’est pour cela que je ne peux pas accepter de voir nos enfants souffrir même s’ils le font avec le plus grand sourire. Aussi, je veux mettre toutes mes forces, celles de la Fondation et des équipes pour leur proposer un avenir meilleur. Ces sourires me font tellement plaisir que j’aime les inviter à des moments exceptionnels dans des voitures de courses que je pilote. Leur intimer que la passion et la volonté sera leur plus grande force et que la Fondation oeuvre pour les soulager demain…

Il n’existe pas d’âge minimum, les nourrissons et les jeunes enfants peuvent, eux aussi, souffrir de rhumatismes, lesquels peuvent créer des lésions articulaires irrémédiables.

Même si toutes les ressources de la Fondation ne sont pas dédiées à la recherche sur l’Arthrite Juvénile, les liens du système immunitaire sont si étroits que tous les sujets de recherche sur les rhumatismes peuvent concourir à la découverte d’une solution sur l’Arthrite Juvénile. Preuve en est, les traitements qui sont aujourd’hui disponibles sur l ‘AJI proviennent à 90% des recherches PR et SA.

Maintenant nous voulons agir vite, la première chose est de permettre un diagnostique très rapide afin de traiter vite. La Fondation s’est fait la promesse de guérir les patients.La recherche est en mouvement. Je compte sur vous pour l’accélérer, il le faut pour nos enfants… »

 

Lionel Comole, Directeur Général de la Fondation Arthritis

Arthritis au Salon du Golf 2018

Événement golfique prestigieux, la 12ème édition de Salon du Golf de Paris s’est tenue les 11,10 et 12 mars derniers à Paris au Parc des expositions de la porte de Versailles.

Comme chaque année, notre fidèle partenaire Golfy était au rendez-vous et a invité sur son stand l’équipe de la Fondation Arthritis afin de lui remettre un chèque de75000€, qui ont pu être récoltés grâce à l’ensemble des Trophées Arthritis by Clarins organisés par Golfy au profit de la Fondation pendant l’année 2017. Cette somme sera  reversée  intégralement à la recherche médicale sur les rhumatismes.

Merci aux plus de 70 golfs du Réseau Golfy qui ont répondu présents pour organiser ces manifestations, et ont accepté de reverser l’intégralité des droits de jeu à la Fondation Arthritis.

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Qu’est-ce que le Trophée Arthirtis by Clarins ?

Il s’agit d’une action caritative d’envergure nationale : une compétition ouverte à tous, sur une journée, qui rassemblera pas moins de 5 000 golfeurs sur plus de 70 green! L’intégralité des droits de jeu et des dons collectés par chaque club est reversée à la recherche médicale contre les rhumatismes.

Des lots pour les gagnants, un moment convivial et solidaire, Golfy et la Fondation Arthritis vous attendent nombreux dans les clubs de golfs du Réseau Golfy pour cet événement incontournable.

Passion, détente, performance, convivialité et solidarité seront au rendez-vous soyez en sûr !

 

 

 

 

Retour en images sur le Salon du Golf 2018 à Paris

Nouvelle version du livre : Lupus, 100 questions

Venez découvrir la nouvelle version 2018 du livre : » Le Lupus : 100 questions pour mieux gérer la maladie » dans notre espace boutique.

Cliquer ici pour commander ce livre 

Ce livre répond entièrement à l’objectif d’éducation thérapeutique du patient grâce à plusieurs tests d’auto-évaluation du lecteur, afin que celui-ci puisse mieux comprendre et donc mieux gérer sa maladie. Les droits d’auteur de ce livre sont reversés à la Fondation Arthritis qui finance la recherche contre le Lupus.

Ce livre est une mise à jour de l’ouvrage déjà publié en librairie en 2010.

L’équipe Arthritis à la convention annuel Golfy 2018

La Convention Golfy 2018

Evénement majeur dans la vie du Réseau Golfy, la Convention annuelle regroupant l’ensemble des Golfs Partenaires, et une sélection de fournisseurs exposants, s’est déroulée dans une atmosphère détendue et studieuse au Club Med d’Opio, les 6 et 7 février dernier.

Golfy & Arthritis

A cette occasion, notre partenaire Golfy a confirmé son engagement auprès de la Fondation en lançant la 8eme édition du Trophée Arthritis by Clarins sur l’ensemble des golfs de son réseau. Cette compétition débutera à partir d’avril et est destinée à tous les amateurs de golfs.

L’intégralité des droits de jeu et des dons récoltés par chaque club est reversée à la recherche médicale sur les maladies articulaires. Des lots pour les gagnants, un moment convivial et solidaire, Golfy et la Fondation Arthritis vous attendent nombreux dans les clubs de golfs du Réseau Golfy pour cet événement incontournable.

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La fondation sur les réseaux